Un soir, à la taverne de stormwind...

Le bruit couru dans Stormwind qu’Ewillane était de retour et allait s’arrêter à la Taverne du Cochon siffleur. Très vite, la salle devint plus étroite à mesure que l’on entrait dans l’espoir de l’entendre. Les verres se succédaient à vive allure et une bonne odeur de soupe aux ailerons de Murloc et de steak de Crocilisque planait dans l’air. Enfin, descendant de l’étage où elle avait pris une chambre, Ewillane fit son entrée. Elle évita de prendre une posture théâtrale pour rendre son entrée spectaculaire et se contenta de descendre l’escalier du pas feutré et élégant qui la caractérisait. Elle adressa un clin d’œil à Reese Langston, le tavernier qui voyait toujours son retour en ville comme le signe de nombreuses soirées passées au coin du feu à écouter ses histoires et accessoirement d’un apport consistant en espèces sonnantes et trébuchantes. Ewillane tira un fauteuil au centre de la pièce et s’y installa. Comme à chaque fois, elle s’adressa à l’assemblée face à elle :

« Mes amis, je suis heureuse de vous voir ou de vous revoir afin de partager avec vous mes histoires. Vous connaissez la tradition et je me dois d’accomplir le rituel. Donnez donc au barde que je suis la matière de l’histoire de ce soir. A quoi voulez-vous rêver ce soir ? Quelle sera la première phrase de mon récit ? Parlez. Je vous écoute. »

Un brouhaha s’éleva de la salle pendant quelques minutes. Certain voulait entendre l’histoire la création d’Ironforge, d’autre désirait écouter le récit de la bataille contre Archimonde. Enfin, un jeune gnome assis dans un coin de la salle demanda qu’Ewillane raconte son histoire. Aussitôt, la foule ne parla plus que de ça, d’autant que jamais elle n’avait été racontée auparavant. Le gnome s’avança vers le barde trônant au milieu de la pièce et vint formuler la première phrase du récit, comme le voulait la tradition de ses soirées.

« Je vais maintenant vous conter la belle histoire du barde assis devant vous. »

Sans l’ombre d’une protestation, Ewillane reprit l’histoire à la suite du gnome.

Je vais maintenant vous conter la belle histoire du barde assis devant vous. Je naquis dans la lointaine Teldrassil, au cœur du monde des elfes de la nuit, mes frères de sang. Dolanaar fut mon berceau. Je grandis au sein de ce que je croyais être une ville importante quand ce n’était à peine qu’un village au cœur d’une région reculée. J’étais la troisième descendante d’une lignée de guerrier. Mes deux frères, de six et huit ans mes aînés, avaient déjà commencé à développer tous les dons nécessaires à cet apprentissage. Depuis l’instant de mon premier souvenir jusqu’à mes dix ans, je grandis au son des lames qui s’entrechoquaient violemment, de la cadence syncopée du souffle de mes frères et des cris de ma mère lorsque mon père les ramenait un peu trop amoché de leur entraînement quotidien. Maëlin, l’aîné, avait choisi la voie du protecteur. Il aimait à répéter que c’était le rôle d’un grand frère que de protéger sa famille à la mort de son père, et Elune sait que mon père pouvait disparaître à chacun de ses combats. Korshak, le second, avait choisi la voie des armes. Il avait été comme fasciné par la lame de mon père lorsqu’il l’avait vu pour la première fois. Ma mère n’était pas loin de penser qu’il vouait un culte secret aux armes de toutes sortes. En effet, bien que mon père eut commencé son apprentissage par le maniement de l’épée, très vite Korshak eut envie de manier la hache, le fusil ou encore l’épée à deux mains, qui était pour lui, l’arme par excellence. Il parvint assez rapidement à un haut niveau de maîtrise. Mon père était fier de mes frères, aussi quand vint pour moi l’âge de commencer ma formation, il envisagea tout naturellement de me faire suivre la voie de la fureur. Mon entraînement commença par le maniement de la dague car ma force ne me permettait pas de soulever une épée plus longue qu’une dague. Les rudiments de son art s’imprimèrent assez rapidement dans mon esprit.

Les premières années ne sont pas consacrées à un entraînement à plein temps. Je passais beaucoup de temps à vagabonder dans la nature et, à force de croiser les créatures qui rôdent dans les bois du pays des elfes, je développais un instinct assez sûr pour savoir quand je devais me cacher. Et bien entendu, les arbres offraient la meilleure des protections. Mon agilité se déploya à mesure que je m’élevais jusqu’à la cime des arbres. Ma mère me mettait souvent en garde contre les dangers que je risquais à grimper toujours plus haut, mais elle me lassait faire et je crois même, en y repensant, qu’elle voyait d’un bon œil ce goût prononcé pour ce qui n’était pas ma formation de guerrier. Le peu de temps que je passais à même le sol en dehors des cours de mon père, ma mère les occupait à me prodiguer toutes sortes de conseils que j’écoutais d’une oreille distraite jusqu’à ce qu’elle commence à me raconter des histoires merveilleuses sur une terre lointaine, peuplée de créatures de petites tailles, d’être ni vivant ni mort et de monstre pourvu de cornes. Lorsqu’elle commençait ses récits, les mots se dévidaient en moi comme une musique entêtante. Mon cœur battait à l’unisson du rythme de sa phrase et bien souvent je ressortais de ce monde irréel comme l’on sort d’une forte fièvre, ni tout à fait vaillant, ni tout à fait sûre de ne pas être sur le point de retomber dans le délire. Elle savait quel effet ses paroles avaient sur moi mais elle continuait de m’abreuver de contes et plus particulièrement quand elle me dispensait ses cours d’herboristerie et d’alchimie. Elle avait obtenu de mon père de m’enseigner son savoir, bien que je ne sus jamais vraiment pourquoi elle me l’enseigna seulement à moi et non à mes frères.

Un jour je décidais de tenter de créer une histoire à moi et de voir si l’effet de mes mots pouvait me captiver tout autant que ceux de ma mère. Je rassemblais une troupe de jeunes elfes de Dolanaar pour leur conter mon histoire, car la magie n’opérait pas lorsque je ne faisais que la raconter à mon esprit. Il fallait que ce fut dit. J’entamais mon histoire et mon public fut assez vite pris dans la trame de mes mots. Moi, je découvrais une sensation toute différente de celle que j’attendais : je découvrais le plaisir du conteur, celui de voir notre histoire s’entortiller autour de l’auditoire et l’enserrer dans son carcan jusqu’à l’aboutissement final, qui éclatait sans qu’un souffle n’ose l’interrompre.

Le déliement de ma langue ; mon habileté toujours grandissante pour l’esquive, la dissimulation et le maniement des dagues (qui était devenu mon instrument de prédilection bien que je sois en mesure de manier une épée) ainsi que mon agilité eurent raison de l’obstination de mon père de faire de moi une guerrière. Il ne renonça pas pour autant à faire de moi une combattante mais une combattante de l’ombre. Il me confia aux soins de Jannok Breezesong qui entrepris de m’initier aux secrets des voleurs. C’est lui qui eut l’idée de me faire me servir de mon amour du verbe pour en faire une couverture à mes activités plus clandestines. Je me fis donc officiellement barde et mes leçons auprès de mon maître cessèrent, du moins aux yeux des villageois. J’appris beaucoup de mon maître sans qu’il ne me destina à une voie particulière. Un jour, il m’emmena à Darnassus, la mystique où je devais rencontrer Syurna, un autre maître voleur. La découverte de Darnassus me coupa le souffle. Tout me semblait si gigantesque et merveilleux. La lumière jouait avec l’onde parsemée autour des colonnades. C’est là que j’appris que mon monde n’était qu’une île et que le vaste rêve des contes de ma mère était à porter de navire. Syurna me confia une mission. Elle avait besoin d’un messager pour porter des informations au manoir Ravenholdt dans la montagne d’Alterac.

Le voyage fut très long et plein d’embûche. Je dus, pour la première fois, défendre ma vie des créatures de toutes sortes qui m’assaillaient sans crier gare. Je dus rendre quelques services et raconter quelques histoires pour gagner l’argent me permettant d’avoir un équipement suffisamment solide pour continuer mon voyage. Ma réputation de barde commença à s’étendre et je devinais que mon maître eut voulu qu’il en soit ainsi. Enfin, je gagnai le manoir et remis ma lettre au seigneur Jorach Ravenholdt. J’appris bien vite que ces informations que je transportais me concernaient. Dans la lettre, mon maître et Syurna (qui avait décidé de prendre à sa charge mon envoi en mission pour éviter à son ami de devoir être la cause d’un voyage auquel je pouvais aussi bien ne pas survivre) me recommandaient à leur faction. Il pensait que mes capacités serviraient au mieux la Ligue des assassins et demandaient donc à son chef de me prendre comme apprenti. Le seigneur Ravenholdt mis fit raconter mon histoire et me testa dans bien des domaines. A la fin de cette période d’essai, il me jugea digne de les servir. C’est alors qu’il me demanda quelle voie je voulais choisir. Je lui répondis que je ne savais pas encore à quoi me destiner n’étant mue par aucune vengeance d’aucune sorte et n’ayant jamais vraiment eut l’impression d’être utile pour personne. Il me dit que la Ligue aurait besoin de moi et que, manifestement, aucun assassin ne saurait se glisser aussi près de sa proie que sous le couvert d’un barde itinérant. En effet, les bardes étaient souvent conviés dans les plus grandes maisons comme dans les tavernes les plus sinistres. J’acceptais de le servir car, enfin, je voyais mon être tendre vers un seul but en bloc et ne me sentais plus déchirée entre mon goût du combat, mon art de la parole et mon instinct de dissimulation. Mon entraînement continua dans cette enclave protégée des montagnes et je fis mes premières armes au donjon de Durnholde en contrebas, dans la vallée. Je devais tantôt dérober un document dans un coffre, tantôt libérer un villageois de leurs griffes. On me confia mon premier assassinat au donjon, car je connaissais bien les lieux. Un orc du nom de Tog’thar avait été fait prisonnier pas les membres du Syndicat. La rumeur circulait que les siens étaient en route pour le libérer mais le Syndicat avait un peu trop parler du manoir, suite à mes différentes incursions, pour que nous prîmes le risque de le laisser en vie. J’accomplis ma mission sans trop de difficultés et revins auprès de mon seigneur avec l’oreille gauche de ma proie. Je reçus les félicitations de rigueurs.

Plus tard, le seigneur Ravenholdt me fit mander par un des gardes. Je me présentai devant lui dans les plus brefs délais. Il me confia une mission de grande envergure. Ma première ! Pendant qu’il énonçait ma tâche, je sentais mon sang bourdonner à mes oreilles. Cette fois-ci, la Ligue m’envoyait chasser mes cousins les elfes de sang. L’un des leur, un marchand puissant, fomentait une révolte contre la Ligue qu’il désirait éliminer par haine des elfes de la nuit et par vengeance contre les assassins de notre repère qui avait pris la vie d’un de ses proches. Je me rendis dans les environs de sa demeure pour préparer mon effraction. Je me camouflais pour ressembler à un elfe de sang. Ce ne fut pas trop difficile compte tenu de la pâleur de ma peau et de mes cheveux que je n’eus qu’à enduire de teinture rouge. Je me fis passer pour un barde de passage et fus conviée à raconter toutes les horreurs que vous imaginez sur l’Alliance. Ma proie se régala de mes histoires pendant un mois entier si bien que j’avais mes entrées dans sa demeure dont je connaissais chaque tenture par le menu. Il était désormais temps de mener ma mission à bien.

Un soir, tapie dans l’ombre, j’observai la villa endormie. La course du vent, emportant les nuages vers leur dernier soupir, dévoila une amie silencieuse. La lune accrocha un de ses rayons à l’éclat de ma lame, enduite d’un poison violent. Mon amie me souriait comme à tous ceux de ma race, né dans l’ombre et fait pour vivre en son sein. J’avais longuement lavé toute trace de cette couleur dont serait bientôt couverte ma proie et qui me faisait si semblable à mes ennemis. Qu’importe, devant la mort toutes les races sont égales et ce soir, c’est moi qui allait la dispenser. Lentement, je visualisai le chemin qu’il me faudrait parcourir jusqu’au lit du maître de maison. Les murs qu’il faudrait franchir et les couloirs qu’il faudrait traverser s’imprimait en moi. Une légion de porte, une succession de salle et toujours des elfes de sang à duper, camouflée dans l’ombre. Enfin, je m’élançais et parvins rapidement à mon but. Il était là, attablé à son bureau, maniant d’une main experte une pile considérable de parchemins. D’un geste vif, je le paralysais. Je me tins devant lui et lui parla de ceux qu’il avait voulu éliminer. Puis, je lui tranchais la gorge. Dans un dernier sursaut, il sembla me reconnaître. Je quittai la villa aussi lestement que j’y étais entrée. Je marchais en bordure d’une forêt lorsqu’un bruit de pas m’alerta d’une présence tout près de moi. Je n’eus pas le temps de grimper à un arbre comme à mon habitude, un elfe de sang m’agrippa fermement. Je crus que ma dernière heure était venue et que j’allais mourir de la même manière que celui que je venais d’exécuter. A la faveur d’un rayon de lune, je reconnus l’homme qui m’entravait. C’était Mirokos Silentform, un habitué de la maison que je soupçonnais d’être un espion.

« Je savais bien que j’avais déjà entendu cette manière de conter des histoires, barde. Je t’ai vu lorsque mon maître m’a envoyer à Ménéthil pour lui rendre compte des arrivages de la concurrence. Ewillane, n’est ce pas, elfe de la nuit ? »

J’étais percée à jour et pour la première fois mon déguisement servit à me trahir. Je lui fis une réponse bravache qui m’aurait conduit tout droit à la mort si Mirokos n’avait pas eut cette même fascination pour mes récits que j’en avais eu pour ceux de ma mère. Il n’avait plus de maître et il ne désirait pas le combat. Je me méfiais de lui car j’avais vu juste, c’était bien un espion mais je me dis qu’au sein du manoir de Ravenholdt et entouré de bien plus d’assassin qu’il ne pourrait jamais en vaincre, il serait plus un atout qu’un fléau. Aussi le ramenai-je avec moi et nous passâmes le voyage en histoire de toutes sortes. Si mon seigneur fut étonné de me voir au côté d’un elfe de sang, il n’en laissa rien paraître. Il était satisfait de moi et Mirokos se révéla un excellent élément par la suite et le meilleur agent de renseignement que la Ligue put compter parmi ses rangs.

Mes pérégrinations me conduire jusqu’à Ironforge, la grande. J’y fis la connaissance des nains et des gnomes dont ma mère m’avait parlé dans mon enfance. Ma sympathie leur fut tout de suite gagnée. Leur ingéniosité me fascinait et je voyais dans l’enchevêtrement des tuyaux et des tiges de métal des machines des gnomes la même beauté que dans l’enchevêtrement des mots de mes histoires. Les nains ne me firent pas bon accueil mais je gagnais rapidement leur confiance par des soirées fortement arrosées dans les tavernes de la ville. Je gagnais ensuite Stormwind, la majestueuse. Elle devint vite ma ville préférée si bien que je ne rentrais plus au manoir que lorsque l’on m’y demandait. Mon seigneur pris vite l’habitude de m’envoyer un messager de confiance pour me m’indiquer ma mission et il ne m’envoyait que rarement des courriers où il requerrait de toute urgence ma présence au manoir. C’est là que je pris mes quartiers au Cochon siffleur.

Mon maître m’encouragea à devenir membre d’une guilde afin de trouver un appui plus solide à des missions plus importantes qu’il voulait me confier. Je décidai alors de rejoindre une guilde qui agit dans l’ombre afin de garder mon anonymat. Je ne vous parlerai pas de cette guilde car son activité doit rester dans l’ombre mais vous saurez que leur idéal eut tôt fait de me convaincre de les rejoindre.

Ainsi s’achève mon histoire. Bien d’autres aventures ont eut lieu et bien d’autre encore sont à venir. Je lève mon verre à cette noble assemblée réunit autour de moi et laisse la place pour ce soir.

Des applaudissements fournis suivirent la fin de la déclaration d’Ewillane. Elle s’apprêtait à regagner ses appartements lorsque le gnome qui avait soufflé le sujet de l’histoire vint la trouver.

« C’est vrai, ton histoire ? Ou bien c’est des salades … »

Ewillane lui répondit qu’elle était barde et que son métier était de raconter des histoires et de faire rêver les gens. Ce soir, elle avait raconté une histoire et si elle voulait laisser une part de rêve eu gnome qui la questionnait, elle se devait de ne pas répondre à sa question.


(HRP voila mon BG, je suis désolée de vous infliger une si longue lecture mais Ewillane est prolixe quand elle sait qu'une assamblée l'écoute. J'espère que vous avez aimé. )

Et bien ma foi, mes oreilles en frémissent encore.. Quelle belle histoire que tu viens de nous conter chère Ewillane..
D'ailleurs, je n'en attendais pas moins de toi. Cette histoire est aussi agréable que ta présence à mes côtés...

HRP: oula je vais me garder ce pavé pour ce soir moi mais en tout cas ça à l'air super bien écrit je te félicite!

Merci pour cette fabuleuse histoire Ewillane.C'est en frissonant de plaisir que je l'ai ecoutée.

He bah ! content de te connaitre un peu mieu ! sa donnera des sujets de conversation quand on ira boire un truc a la taverne !

HRP : ma parole je te jure ton hstoire elle est magnifique !ta jamais pensé a écrire des romans ? pasque je suis sur le cul lol moi j'ai pas fait mon BG comme vous dite mais je suis sur qu'il sera nul a coter du tien !

(HRP ah ben c'est gentil ca. Mais tu sais je fais des etudes de lettres alors les histoires c'est mon job ! ^^ enfin je suis contente que ca plaise. C'est quand meme le but principal d'un Bg après l'incarnation du personage. )

(J'en rajouterai pas une couche, je crois t'avoir déja dit dit ce que je pensais de ton récit. Par contre j'ai un gros reproche à te faire
*Tape du poing sur la table* Elle est où la suite?

Nan mais parce que c'est bien gentil de nous mettre l'eau à la bouche comme ça en nous jetant quelques lignes en pature mais maintenant que tu nous tous alléché, il va falloir continuer à écrire!

Hors de questions que tu en restes là.

Allez tous avec moi:

La suite! la suite! la suite! la suite! la suite!.... )

Cher Letho, tes voeux vont bientot etre exaucés. Hier soir, a une heure fort tardive (c'est peut etre ca qui a provoqué cette discussion bizare) j'ai appris à ma grande stupéfaction que Humdock était en réalité ... un Murlock !? Tu imagines ma surprise en apprenant une telle nouvelle.
Evidemment mes oreilles de barde, quoique fort jolies au demeurant, ont frétillées en imaginant quel succes pourrait avoir une telle histoire dans mes tournées et tournois de contes à la taverne. J'essaye donc de retracer l'histoire de notre camarade ce qui demande bien sur de remonter à la source de toute cette histoire. Après je pofinerai la mise en scène et on se retrouvera à la taverne pour la grande première de : Humdock le murlock (enfin sur vos ecran ^^). En plus c'est Baramnin qui paye la tournée, on a convenu de ca entre nous. Hehe, on va vivre un jour historique : Baramin va faire tinter les piecettes de sa bourse et les mettre sur la table.

ouais enfin de ma bourse ou celle arraché des poches d'un orc mort hahaha !!! et n'oublie pas ! je t'apporte ton costume...heheee

Letho regardait le groupe disparate composé d'Ewillane, Baramin et Humdock d'un air sévère.

Hum, hum....alors je récapitule...Humdock serait en réalité un murloch, vous voulez monter une pièce de théatre sur sa vie, Baramin doit confectionner le "costume" d'Ewillane (pense en lui même que ,connaissant Baramin, si il doit apporter un "costume" à Ewi ce ne sera pas le tissu qui coûtera le plus cher) et Baramin, encore, va offrir une tournée générale?

J'ai bien compris?

Mais par le Néant Distordu! Je peux savoir pourquoi vous vous saoûlez comme trente six cochons quand j'ai le dos tourné?

C'est vrai quoi, mettez moi une choppe de côté la prochaine fois....

ho soit pas déçu hein et puis pour le costume j'ai dit que je le fournissais hehe. et non le tussi ne me ruinnera pas hahaha

sinon la piéce de théatre sa c'est ewi qui s'en occupe et sinon Humdock bah.. lui c'est le dindons de l'histoire hah enfin non ! le murloc haha


et pour la tourné... biensur qu'on va se mettre minable ! sava pas non ?! en plus c'est moi qui fourni donc niveau quantité devrais pas y avoir de probléme.

Je vois que ca vous met en joie cette histoire. Simple détail : ce n'est pas du théatre mais une soirée barde à la taverne avec comme heros de l'histoire Humdock. Bon concernant le costume, c'est une idée de Baramin ou plutot un troc. J'accepte de porter le bidulle en peau de panthère ou autre qu'il me ramene et il paye la tournée sans massacrer le patron qui est un ami à moi. D'ailleurs il a promis d'offrir un tournée quand Baramin aura offert la sienne. Ca a du bon les amis.

(Hrp Bon ca carbure sous le capot, j'ai deja les grandes lignes de l'histoire mais j'ai des trucs à améliorer. Un détail d'oraganisation me semble important. Vous voulez faire ca IG ou pas parce que je me connais, ca va etre un pavé donc ca risque de pas etre top à raconter. Notez que je peut faire une version light à la taverne et une version reliée sur le fofo. Dites moi tout. Et j'aimerai aussi savoir ce qu'en pense notre cher Crima)

Ouais j'attend sa avec impacience ! surtout que la tenu je l'aurais bientot et elle est pas mal du tout ! heheee

( HRP Bah moi je sas pas ptétre que IG il y aura mon le bordel aprés je sais pas on peut ptétre inviter des gens qui se soulerons pas tout de suite lol )

Disons que l'idée de t'entendre et de te voir nous conter l'histoire d'un membre de la guilde, qui serait en réalité un murloch, vétue d'un costume en peau de panthère....ça à un je ne sais quoi qui nous titille.

Bref on est tous impatient.

(Mon avis sur la question IG ou fofo est le suivant: De toutes façons tu n'échapperas à l'obligation de nous en faire une belle histoire sur le forum non mais^^ .
En faire une version light IG pourrait être une bonne idée mais alors il vaudrait mieux que le nombre de personnes y assistant soit relativement réduit. Sinon ça va être le bordel, d'autres parleront en même temps que toi, il risque d'y avoir des boulets pour plomber l'ambiance ect.... Bref sans pour autant en faire égoistement un event exclusif à la guilde, je te conseillerai de ne pas chercher à rameuter trop de personnes, histoire de t'éviter une déception.

Je me permettrai également de te conseiller, toujours dans l'optique où tu voudrais en monter une version IG, de prévoir à l'avance des macros avec le texte. Puis de les lancer au fur et à mesure. Cela te permettrait de ne pas te prendre la tête à taper ton texte pendant l'event et d'avoir tout le temps pour mettre en place un jeu de scène.

Voilà, voilà.... ah j'oubliais! J'aurai peut être du commencer par cela d'ailleurs, je te félicite pour l'idée que je trouve excellente et * ....
Je serai evidemment ravi de t'aider si jamais tu as besoin d'un coup de main pour l'organisation.


* Insérer ici les compliments souhaités. )

(Pour dire vrai, je pensais faire une version forum de toute façon puisque je vais taper mon texte intégral en premier, après j'enleve les passages trop longs (et me connaissant va y'en a voir). En ce qui concerne le IG, je pense que ca peut etre pas mal en effet. Ca fera l'occasion d'une soirée RP sympa. Par contre je pensais inviter essentiellement la guilde parce que je ne vois pas comment faire d'autre (bien que quand on lance un message sur le canal de Stormwind il n'y ai pas grand monde pour répondre de toute facon). Ou alors il faudrait mettre une annonce sur la liste des events dans les add on mais alors la, non seulement je ne sais pas comment on fait, mais en plus je en sais meme pas si les add on remarchent.

Sinon, l'idée des maccros c'est une super bonne idée mais euh *toussote d'un air géné* comment on les fait ? En ce qui concerne le lieu la question ne se pose pas, c'est ma taverne officielle, j'ai nommé la taverne du cochon siffleur. En plus c'est a Stormwind donc c'est bien.

Je ne suis pas contre ton aide pour l'organisation parce que je dois avouer que je ne sais pas trop se qu'il faut faire (ben oui c'est mon premier event alors ...) J'aimerai que vous me donniez un jour qui vous arrange pour monter ca. Si possible pas ce soir ou demain le temps que j'ecrive l'histoire et que j'aprenne a taper les maccros. D'aileurs, il me faut aussi un peu de temps pour repeter pour verifier la vitesse de lecture et la longueur du bidulle des fois que j'ai encore des coupures à faire.

Bon sinon, question importante et je sais que je me repete. J'aimerai beaucoup connaitre le nom de celui qui a parlé de notre guilde à Humdock ainsi que celui qui l'a embauché et un peu savoir comment ca c'est passé (Bon Crima je sens que c'est pour toi la dernière partie, désolé)

N'hesitez pas à me repondre IG aussi afin de facilité l'organisation.

Voila je pense ne rien avoir oublié pour le moment. Ah si, il faudra prevenir les membres qui ne sont pas inscrit sur le forum alors si l'un de vous les croisent prevenez les.

(Encore un pavé HRP dans la section RP mais bon c'est pour la bonne cause ^^))

(Alors je réponds rapidos pour les macros, il est midi passé chez moi et il commence à faire faim. De mémoire les macros pour balancer un texte sont toutes simples, quand tu vas dans le menu option tu as une case macro. Cliques dessus, un panneau s'ouvre. Le premier truc à faire est de choisir une icone pour ta macro et un nom. Après il te suffit de taper ton texte dans la zone prévue à cet effet. Une fois que c'est fait, tu choppes l'icone de ta macro et la place dans une barre de raccourci. Tu n'auras plus qu'à cliquer dessus pour faire apparaître dans le canal que tu utilises. Si tu en /dire le texte apparaîtra dans le canal /dire, en /gu le texte apparaîtra en /gu ect.... De mémoire le nombre de caractères est limité à 250 par macros (en comptant les espaces) donc tu risques fort d'avoir à en faire quelques unes.
Mais bon si tu les places dans l'ordre et en les numérotant il ne devrait y'avoir aucuns soucis^^

Pour prévenir les membres de la guilde, le plus simple serait sans doute de faire à la fois un post d'annonce sur le forum et un message de guilde stipulant le jour et l'heure.

Si tu veux avoir un peu plus de monde, il pourrait être intéressant de faire un tit message sur le forum rp du conseil des ombres. Je ne me souviens plus de l'adresse mais ce forum est facile à trouver).

Les tenues d'Ewillane sont fournie ! et les sous pour la tournée également ! y compris toi et moi Letho. par contre si vous pensez venir boir de l'alcool léger...ou se que j'appel du jus de chaussette...vous vous trompez d'adresse j'ais pas se genre de saleté moi ! que de l'alcool fort ! a la limite j'ai pris la précotion d'en prendre a la puissance modéré..donc " normal" mais sa ira pas plus loin !

En voila une bonne idée..oui je sait j'arrive la avec du retard bon ca va.
Heu pour Humdock bah en faite c'est tout simple...je ne me souviens plus de son recrutement.Je me demande si ce n'est pas Letho qui l'avait recruté suites aux annonces passées sur les Grandes annonces officielles (forum WOW).
Ensuite,comme le dit Letho je te conseille aussi de faire des macros tu fais des pavés de 250 caractères que tu racontes entrecoupés de petites repliques ou de *hum*,*a soif* etc...que les gens aient le temps de lire le pavé dans le champ de texte.
Sinon je conseille aussi de ne pas consommer d'alcool fort PENDANT le recit sous peine de ne plus rien capter de la soirée(hé oui durdur de lire quand l'ecran est flou^^).
Pour les costumre j'aimerai que chaqun soit habillé decontracté,du genre tenue de soirée,robe,etcetc...c'est dans un but uniquement Roleplay pour l'image de la guilde aupres des autres participants.

Pour le creneau Horairesi ca se fait cette semaine faudra le faire apres 21h00 ou si c'est la semaine prochaine j'ai pas d'horaire precise..reste a voir avec les autres...(eviter le dimanche apres midi en soirée c'est mieux)

Crima a écrit:En voila une bonne idée..oui je sait j'arrive la avec du retard bon ca va.

Vous avez remarqué hein?! On a encore rien dit et hop tout de suite elle mort !

C'est moi qui l'aurait recruté? *se creuse le crâne* effectivement je crois me souvenir qu'il avait été recruté suite à une annonce qu'il avait mise dans notre taverne mais j'ai un doute sur le fait de l'avoir embrigadé personnellement...puis avoir accepté un muroloch ce serait la honte quand même...

Merci Baramin pour la tournée, je te fais confiance je pense qu'on aura tout ce qu'il nous faut! hehe!

Concernant la tenur, je vais ressortir mes vêtements de ville qui doivent traîner dans un coin. Par contre pour avoir eu un aperçu de la tenue que Baramin a préparé pour Ewi ...ben...je suis pas sur que le terme "décontracté" soit approprié *adresse un clin d'oeil égrillard à Ewi*

Je tiens juste à rappeler que je suis un couturier hors pair, et que je peux par conséquent coudre quelques tenues ( tel les costumes ) donc, vous pouvez faire appel à moi ( composants non fournis )

Attention j'y ai laissé déjà plus de 50 PO chez ce mossieur pour un pyjama et un serre tête!!!!

ESCROC!!!

Bon bah tout sa avance a grand pas ! mais quand tu parle de tenu de ville... tu veut dire enlever toute l'armure, l'épée , les couteaux, l'arc , les fléches , les grenades ,les....*Longue liste d'arme diverse et varier sans parlé des accessoire....* ?!