Arme au Poing
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Au détour d'une chopine...

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Message  Baramin Mar 20 Fév - 4:38

« Mon histoire ? Vous voulez que je vous raconte mon histoire ? Bah ! Je ne sais pas si ça va vous plaire... bref ! 

J'ai vécu au nord, dans une ville tranquille... Enfin, si on fait abstraction des innombrables imbéciles qui l'habitaient... Je suis orphelin et n'ai donc jamais connu mes parents. Pour certaines raisons que je n'exposerai pas ici, tout le monde avait quelque chose contre moi, quelle que soit leur motivation, même si la haine et la peur en étaient les principaux motifs. Il a donc très vite fallu que je me débrouille seul et, ayant une, voire deux têtes de plus que ceux de mon âge ainsi qu’une carrure allant avec la taille, j'ai vite trouvé la vie de petit voyou séduisante, mais malgré tout je n'étais pas un malfrat, car ces derniers éprouvent une certaine loyauté pour la bande à laquelle ils appartiennent, ce qui n'était pas mon cas. Et puis, après tout, même ceux avec qui je faisais mes coups ne m'aimaient pas. J'ai donc changé plusieurs fois de bande et j’agissais comme une sorte de mercenaire, j’allais là où on m'offrait le plus de chose... J'ai vécu cette vie jusqu'au jour où j'ai tué deux gardes à midi et en pleine rue et le fait que l'un des gardes était une femme n'a vraiment pas plu au gens... Oui ce n'était pas très intelligent mais j'avais mes raisons et n'ai jamais regretté ce geste.

J'ai donc fui la ville où j'ai grandi. Pendant ma fuite, un homme voulu me prendre le peu de chose que j'avais. Après l'avoir rossé, ses amis, au lieu de me faire la même chose, me proposèrent de rejoindre leur groupe de mercenaires... plus pour ma carrure et ma réputation de type violent (mais assez doué dans le domaine) que pour autre chose. Peu de temps après mon arrivée, je tuai un mercenaire qui eut la mauvaise idée de parler comme les gardes. Loin faire subir le même sort, les mercenaires décidèrent de me filer les biens du défunt, qui comprenait entre autre un casque intégral en fer. Je n'ai plus jamais vécu à visage découvert pour éviter d'autres morts comme les gardes ou le mercenaire. La troupe n'étant encore "louée" par personne et elle se livrait à du banditisme : pillage de caravane marchande pour la plupart... Pour tout dire, je me retrouvais toujours en première ligne avec une arme a deux mains (peu importe le type d'arme) tuant et massacrant, que se soient hommes, femmes ou enfants... Peu importait la cible, j'étais constamment aveuglé par la haine à cette époque et du moment que mes "ennemis" tombaient sous mes coups, moi, ça m'allait ; ce qui me valu quelques plaintes d'autres mercenaires. Et oui, tuer des enfants, ils s'en foutaient mais ils aimaient tout particulièrement "s'amuser" avec les femmes... Après quelques semaines, nous tombâmes sur un convoi d'équipements militaires, camouflé en convois marchand. Tout le monde se battit pour choisir ce qu'il voulait. Après avoir assommé quelques types, on me laissa choisir à ma guise mon butin... Une fois mon choix fait, je décidais d'arranger mon armure en plate, désormais complète, histoire d'avoir une apparence... plus appropriée à mon caractère. Une femme qui avait été prise à un convoi beuglait partout qu'elle pouvait nous servir autrement qu'en "jouet". Selon elle, elle savait coudre et colorer les vêtements etc. Je l'ai donc arraché aux mercenaires qui s'amusaient avec elle, puis je lui ai dit de s'occuper de mon armure en la colorant en noir... Elle refusa, prétextant qu'elle n'accepterait qu'à condition d'être protégée des autres mercenaires...

Oui car a l'époque j'étais à peu près le seul à ne pas "jouer" avec les femmes. Sachez aussi qu'à cette période, je me fichais de pas mal de chose... la morale par exemple.

J'ai donc donné une claque magistrale à la femme qui l'envoya au sol, puis en plaçant un de mes couteaux sous sa gorge, je lui dis qu'il n'y avait pas de marché possible et que j'avais droit de vie et de mort sur elle... Bizarrement, elle décida de m'obéir. Pendant son travail, plusieurs mercenaires tentèrent de la ramener dans leur tente. Il me fallut donc fracasser quelques crânes... Après ces incidents, les mercenaires décidèrent que la femme serait maintenant à moi, ils cessèrent donc de l'importuner. La femme fit ce que je lui demandais, elle colora mon armure en noir. De mon coté, je trouvai une sorte de grande cape à capuche noire, pouvant recouvrir mon corps intégralement. Je remplaçai aussi mon vieux casque en fer par le nouveau, noir aussi... Une fois l'armure prête, j'installai quelques piques en fer noir sur l'armure et sur le casque, puis je mis la cape par-dessus et, en forçant, des trous apparurent, laissant apparaître les piques : le tout était prêt... Un jour, la femme, que j'avais finalement sauvée indirectement et qui avait vu ma tête sans casque à cause de la préparation de l'armure, me dit que mon apparence lorsque j’étais ainsi équipé collait parfaitement avec ma véritable apparence et avec mon âme ténébreuse. La femme eut une mauvaise idée... me donner un surnom... le même que j'avais dans la petite ville, le même que les gardes me donnèrent dans la rue, le même que le mercenaire me donna à mon arrivée... La femme mourut... La tête arrachée et plantée sur une pique.

Notre compagnie de mercenaires continua ses raids jusqu'au jour où l’on fut employé par un seigneur local dans l'actuelle Maleterres de l'est. Il nous ordonna de tuer et de détruire le fief de l'un de ses rivaux en nous faisant passer pour les fidèles d’un autre seigneur. Nous marchâmes donc sur la place forte du seigneur "ennemi" en compagnie d'autres mercenaires. Une fois sur place, le siège installé et les bannières de l'autre rival mises en valeur, les combats commencèrent. Ma compagnie avait été désignée comme troupe de "choc", ce qui voulait tout simplement dire qu'on nous confiait les objectifs les plus dur à atteindre. Nous étions donc toujours en première ligne, mais loin d'être décimés. Avec le temps, nous finîmes par nous organiser comme une véritable troupe militaire, ce qui eut pour résultat d'accomplir tout ce qu'on nous confiait. Lors du dernier assaut, nous étions ceux qui devaient entrer les premiers dans la forteresse, une fois la porte abattue. La porte tomba comme prévu avec des centaines de morts, prévus eux aussi, puisqu'on avait envoyé les troupes de mercenaires les moins douées au casse pipe. Ma compagnie entra dans la forteresse. Après la veine résistance de quelques hommes de gardes, nous massacrâmes toute vie dans la forteresse, hommes, femmes, enfants, vieillards, animaux, ainsi que le seigneur "ennemi" : lui fut pendu au-dessus de la porte enfoncée de son fief... Tout fut détruit sans le moindre remord. Le château en flamme, nos regards se tournèrent vers la petite ville qui était protégée derrière le château. Elle fut, elle aussi, détruite ainsi que tout ce qui s'y trouvait... Pendant les jours qui suivirent, notre employeur se rendit sur place avec sa garde officielle et jura de sauver de la destruction le fief de son "ami" et fit remarquer aussi les bannières de son autre rival... Peu après, il prit le control du fief de son autre rival. En l'espace de quelques semaines, il fit la même chose avec deux autres fiefs et cela de façon "légale". Enfin bon, nous on s'en foutait, du moment qu'on était payé... Notre employeur nous envoya tuer et massacrer nombres de ces rivaux en procédant de la même manière que les deux premières fois... Il devint avec le temps très influent. Plus il devenait puissant, plus il devenait imprudent : il se mit à attaquer des seigneurs qu'il n'aimait tout simplement pas... Il nous envoya aussi raser quelques villages qu'il n'aimait pas... Humains, nains, gnomes, trolls, survivants orcs ou encore quelques hauts elfes... L'argent coulait à flot. C'est pendant cette période que je me forgeai une réputation de Tueur, de Barbare ou d'autre surnom encore moins reluisant. Bref j'étais connu comme l'un des plus infâmes adversaires qu'on puisse rencontrer sur un champ de bataille...

Oui à l'époque, dans la région où je me trouvais il n'y avait pas encore de héros partout comme maintenant, seulement des paysans et des gardes peu doués...

Un matin notre employeur passa dans notre camp avec sa garde personnelle. Il insulta nombres d'entre nous comme il en avait l'habitude après avoir un peu trop bu. Seulement cette fois, il eut la mauvaise idée de m'insulter, moi, et avec presque les même propos que les deux gardes, le mercenaire et la femme... Il m'insulta et me hurla dessus pendant de longues minutes. Moi je savais ce qui allait se passer, et les mercenaires aussi, car ils préparèrent leurs armes... Une fois que tout le monde fut prêt, je dégageai l'énorme épée de mon dos et le trancha de haut en bas jusqu'à la taille, la garde personnelle passa a l'attaque et fut réduite à néant par les mercenaires... N'allez pas croire que les mercenaires m'étaient fidèles, ce serait une grave erreur. Non ils savaient juste qu'une fois le seigneur mort sa garde personnelle répliquerait en attaquant tout le monde, même si j'était le seul fautif. Après cet "incident", la troupe de mercenaires me pria de partir, en prenant toutefois la précaution de placer quelques archers à bonne distance... Je n'aurais pas pu tous les tuer et ils le savaient. Mais après tout, j'avais grandement participé à leur fortune actuelle, ils n'avaient certes plus d'employeur mais ils avaient quand même gagné pas mal d'or.
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Message  Baramin Mar 20 Fév - 4:41

Me retrouvant seul, je vagabondais pendant quelques temps avant de retourner vers ce que je savais faire de mieux : attaquer ou protéger les convois marchands ou encore tuer ou aider les bandes de malfrats. Après cela, j'ai bossé en solo pendant un moment faisant office de tueur (pas très discret mais bon...) Certain on voulut me payer pour être leur garde du corps... Ils ont très vite abandonné cette idée, car je n'éprouvais aucune loyauté pour mes employeurs. En vérité, il suffisait de m'offrir plus d'argent que mon premier employeur pour que je me retourne contre eux... Un jour, pendant que je traversais un village, le doyen et le chef de la garde locale trouvèrent le courage de venir me voir et me demandèrent de rester pour défendre le village contre une bande de malfrats qui devaient attaquer dans trois jours si le village ne leur donnait pas leurs richesses et leurs femmes. Ils voulurent m'offrir un peu d'or pour me payer, je refusai. Ils me proposèrent donc une maison en plus de l'or. Je refusai une fois de plus... Le chef de la garde me demanda si j'étais comme les bandits et si je préférais les femmes comme butin ou paiement... Je lui dis qui non, que la raison pour laquelle je refusai à chaque fois, c'est que le prix n'était tout simplement pas assez élevé. Sur ce, je partis. En sortant, je tombai sur le campement des "bandits" qui ne s'étaient même pas donnés la peine de se cacher. Il s'agissait en fait de mes anciens compagnons les mercenaires. En voyant cela, je retournai donc au village. Pas parce que je savais ce qui les attendait, ni sur ce qu'ils feraient aux villageois et surtout aux femmes... Non, en vérité j'avais juste envie de faire la peau à certains d'entre eux... *Sourit*.

Quand le doyen et le chef de la garde me virent revenir et qu'en plus je ne demandais rien en guise de paiement, ils acceptèrent tout de suite... Ils ont du se poser pas mal de questions, mais ils ne me les posèrent pas. Après tout a l'époque, j'étais connu et les preuves de mes talents de guerrier n'étaient plus à faire. Pendant les préparatifs des fortifications du village, on me laissa tranquille, comme d'habitude. On m'évitait en fait, sauf le doyen et le chef de la garde qui voulurent me demander conseil sur les fortifications et tout ça... Mais bon, protéger les villageois, je m'en foutais ; moi, je voulais tuer certains des mercenaires... J'avais décidé de ma cacher pour éviter que les mercenaires ne me voient tout de suite, histoire de leur faire la surprise. Ils envoyèrent un messager pour savoir si leurs conditions seraient respectées. En voyant les fortifications, le messager éclata de rire et repartit tout de suite vers les siens. Les mercenaires chargèrent de front et en nombre, comme ils avaient l'habitude de faire, face à des villageois.. les idiots.. Cette fois là, des trous remplis de pieux les attendaient sur le terrain qui menait au village, d'autres pieux avait était érigés sur la barricade principale. Malgré ces "surprises" et les pertes qu’elles occasionnèrent, la charge arriva quand même sur la barricade et entra en contact avec les gardes et les villageois armés qui avaient été entraînés à la va vite... C'est à ce moment que je sortis de ma cachette, j'apparus en plein milieu de la barricade et en première ligne, abatant et tranchant les mercenaires pris par surprise. Ceux ci commencèrent à faire circuler la nouvelle mais c'était déjà trop tard. J'avançais dans leurs rangs en profitant de la confusion, brisant, coupant, tranchant et décapitant mes ennemis. Avant qu'ils ne se reprennent, je sortis de la barricade puis me plaçai à quelques mètres de là, en plein milieu de leurs rangs, je les fauchais comme les insectes qu'ils étaient à mes yeux. Et en me plaçant comme cela, j'empêchais aussi leurs archers de me tirer dessus. La première charge fut brisée plus par surprise que par autre chose, j'en étais bien conscient. Malgré tout, les villageois fêtèrent cette "victoire" sans toutefois venir me féliciter ou quoi que se soit... Après tout, j'étais dans mon armure noir, avec des lambeaux de tissu cachant une partie de mon corps, le tout hérissé de piques, avec une énorme épée dégoulinante de sang et un tas de cadavres autour de moi... Pas très accueillant quoi... Les mercenaires revinrent, mais cette fois de façon organisée comme ils savent si bien le faire... Les lourdes pertes que les pièges leurs avaient fait subir lors de la première charge les handicapèrent, et avec moi en face tuants tous ceux qui tentaient de m'atteindre, ça n’aidait pas. Le "siége" dura deux jours durant lesquels les mercenaires menèrent charges sur charges, profitant de leur supériorité numérique. Mais l'ultime charge vint. Ils avaient eu trop de pertes sur un simple village, ils tentèrent donc le tout pour le tout : exactement ce que je voulais : c’est à dire attirer le chef des mercenaires. Le dernier combat fut sanglant, des cadavres à perte de vue, les hommes marchaient sur leurs camarades tombés au combat... Puis vint le moment tant attendu, le chef des mercenaires, un grand type du nom de Bors, me chargea en hurlant avec son énorme hache d'arme. Le premier contact fut si violent que nous fûmes tous deux projetés en arrière. Nous revînmes à l'attaque à la même seconde, nous parions et bloquions nos coups et les combattants à proximité tombaient eux aussi sous nos armes, tranchés par les deux géants que nous étions à mener notre propre guerre au milieu d'êtres insignifiants. Les autres hommes qu’ils fussent mercenaires, gardes ou villageois, formèrent inconsciemment un cercle autour de nous. Ils se battaient toujours mais ne voulaient pas se faire découper pas notre combat. Mon duel avec Bors s'éternisa, mais aucun de nous ne fatiguait car nous avions tous deux l'habitude d'être en première ligne et de subir de long combat... Finalement Bors trébucha sur la tête d'un cadavre. Voyant une énorme ouverture se former dans la garde de mon ennemi, je lui coupai net la jambe gauche puis l'achevai rapidement. Le combat continua tout de même car maintenant les mercenaires se battaient pour sauver leurs peaux, et tentaient de fuir. C'est à ce moment là que l'un d'eux me chargea sur son cheval et me transperça l'abdomen avec sa lance. Je fus projeté au sol, puis tout devint noir...

Je repris connaissance dans une maison où l’on me tenait à genou, toujours avec la lance plantée dans le ventre... A travers la visière de mon casque, je distinguai trois personnes en train de parler pendant que deux autres me tenaient fermement. L'une des trois personnes me parla. Comme si je pouvais comprendre ce que cet imbécile racontait... Puis une deuxième personne arriva et m'arracha la lance d'un coup sec. La douleur fut telle que je n'eus même pas la force de crier. Je perdis de nouveau connaissance.

Je reprit conscience avec une douleur à la poitrine qui m'empêchait presque de respirer. C'était étrange car je savais qu'une telle blessure aurait du me tuer. Après plusieurs essais, je réussis à bouger la main, puis le bras que je ramenai vers ma tête... le casque avait disparu ! Avec le reste de l'armure d'ailleurs, mais ça c'était moins important... Malgré la douleur, je voulus me redresser. L'espace d'un instant, je réussis et je distinguais mon armure au pied du lit avec le casque à coté. Je serrais les dents et je fis saigner ma blessure mais je réussis toutefois à attraper mon casque et à le mettre, puis à me recoucher comme je pouvais, avec la respiration rapide et saccadée, ma blessure était de nouveau ouverte... Je luttais contre la douleur pour ne pas perdre connaissance. Après quelques temps, une personne entra et cria en voyant mon lit trempé de... de sang. Puis elle vit le casque et je pense qu'elle comprit à ce moment là. Cette personne était une prêtresse qui voyageait de régions en régions. Les villageois m'avaient prit pour une sorte de héros... Ils l'avaient supplié de prendre soin de moi. Elle referma à nouveau ma blessure puis refit le bandage et le lit avec l'aide de deux hommes qui me soulevaient. Une fois réinstallé et une fois que les hommes furent repartis, elle retira a nouveau mon casque malgré mes protestations ; enfin, protestation est un grand mot dans l'état où j'étais... Elle m'assura que ce n'était pas grave, qu'elle se fichait pas mal de ce qui se trouvait sous le casque... Je la laissa faire, je n'avais pas trop le choix. Après quelques jours, je pus enfin parler normalement et bouger le bras droit, mais pas encore le reste du corps, la douleur était encore trop forte. Il me fallut trois semaines de plus pour pouvoir bouger les jambes. Une semaine s’écoula de nouveau. La tentation était trop forte, il fallait que je tente de me mettre debout. Je mis vingt bonnes minutes à m'asseoir sur le bord du lit. La première tentative m'envoya directement au sol et attira l'attention de la femme qui, non sans mal, me remis au lit tout en me sermonnant. Malgré tout, j'essayai chaque jour, une semaine après je tombais encore du lit... Cette fois la femme m'insulta comme il faut. *rit*. Mais bon... je suis têtu comme une mule et dans ma tête il fallait que je me lève ! Le lendemain je tentai de nouveau ma chance. Assis sur le bord du lit, je posai les pieds par terre puis à l’aide de mon bras valide, je me hissai sur mes jambes tout en luttant pour que celles-ci tiennent le choc. Je m’accrochais de justesse au bord du lit pour ne pas tomber, je sentis les tissus cicatriciels de ma blessure se tendrent en me faisant un mal de chien et ils m'arrachèrent un cri de douleur au passage. Après quelques minutes, je m'aperçus que je tenais debout malgré la douleur... Bien sûr, la femme arriva en rallant et en pestant, prête à m'injurier mais elle s'arrêtât net en me voyant tenir debout, tout tremblant et entièrement couvert de sueur. Elle me recoucha en me sermonnant une nouvelle fois. Mais cette fois, elle avait un sourire aux lèvres. Ce fut de courte durée, car elle remarqua enfin le casque qui avait réapparut sur ma tête. Je passerais sur les détails mais je mis trois semaines avant de pouvoir marcher et bouger correctement. Du moins assez pour pouvoir débuter un entraînement qui me ferait retrouver ma carrure d'avant la blessure. J'appris comment les villageois avait supplié la prêtresse de me soigner. Ce qu'ils ignoraient, c'est que j'étais revenu pour faire la peau à Bors ainsi qu'à d'autres mercenaires et non pas parce que je me souciais d'eux... Bref la prêtresse me soigna dans la maison que les villageois voulait m'offrir. Après un mois d'entraînement acharné, je repris enfin ma carrure et toutes mes capacités. Un matin, je remis donc mon armure, la cape et tout le reste. Je voulais partir de ce village et rien ne m'en empêcherait. Quand la prêtresse vit cela, elle fut mécontente car elle compris que je me fichais des villageois, de leur gratitude et tout le reste. Cela ne m'empêcha pas de monter sur mon cheval et de partir sous les insultes de la prêtresse et les regards déçus et parfois furieux des villageois.
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Message  Baramin Mar 20 Fév - 4:41

Après cet épisode, j'ai vécu quelques temps en acceptant de petits boulots d'homme d'arme, comme avant. Et puis un beau jour, le fléau fit son apparition, contaminant et tuant pas mal de gens... Loin de fuir cette menace, j'avais décidé au contraire de retourner voir la petite ville où j'avais grandi, histoire de voir si les habitants avaient réussi à survivre. Quand j'arrivai, le fléau était déjà passé. On voyait des cadavres à perte de vue... J'ai fouillé la ville d'un air distrait en me rappelant tel ou tel événement de ma vie d'enfant : mon premier vol, la première fracture que j'infligeai à quelqu'un... Pendant ces fouilles, je trouvai une femme avec de légères blessures sur tout le corps, mais encore vivante. En la regardant de plus prés et malgré le sang et la crasse qui la recouvrait, elle me rappela quelque chose... Je l'ai sorti de la ville, l'emmenant en forêt en quête d'un point d'eau encore sain. Une fois que je l’eus trouvé, je montai un camp de fortune avec des branches mortes et mes affaires. Je pris alors de l'eau et commençai à nettoyer le visage de la femme pour retirer le sang et la crasse. Le visage de la femme me frappa ! Pas parce qu'elle était belle ou ce genre de chose, non... Mais parce que je la connaissais ! C'était la prêtresse qui avait prit soin de moi après la bataille contre les mercenaires. Je ne savais vraiment pas pourquoi j'avais décidé de m'occuper d'elle et de la sauver mais je pris le temps de la laver, complètement, puis après avoir mit une bonne vingtaine de bandages, séché le reste de son corps et lui avoir fait enfiler des vêtements que j'avais trouvés dans la ville, je l'enveloppai dans des couvertures. Ainsi installée, je la laissais et partis en forêt pour chercher du bois mort, histoire de pouvoir faire un peu de feu. Après avoir allumé le feu et placée la femme ni trop loin ni trop près du foyer, je préparai un peu de nourriture, j'en fis de la bouillie puis je tentai de la nourrir, sans résultat. Elle mit un jour à comprendre qu'il fallait ouvrir la bouche et avaler ! *sourit*. Chaque jour je changeais ses bandages et je la nourrissais, d'abord avec mes provisions puis avec des animaux que je réussis à attraper par miracle. Le manège continua quelques temps. Je savais qu'un jour ou l'autre la corruption du fléau gagnerais toute la région, le court d'eau et les animaux avec... Il fallait qu'on se déplace mais c'était impossible pour elle. Un matin, la prêtresse se réveilla enfin, me regarda et prit peur. Oui j'avais toujours mon armure intégrale. Après qu’elle eut poussés plusieurs gémissements, je me décida enfin à retirer mon casque à contre cœur. Elle me regarda de nouveau, surprise cette fois, elle referma ensuite les yeux et s'endormit un peu plus détendu. Elle se réveilla le lendemain pendant que je changeais ses bandages. Elle repoussa mes mains et se lança un sort de régénération. Les blessures n'étaient pas très graves mais très nombreuses. Malgré tout, je les vis se refermer une à une... Les blessures refermées, je lui mis quand même des bandages et la recouchai : elle dormait déjà... Deux jours plus tard, elle avait la force de s'asseoir et de manger seule. Elle n'arrêtait pas de me regarder sans parler... Puis un jour, elle me demanda pourquoi je l'avais sauvée, pourquoi alors que d'habitude je ne me préoccupais de personne. Je ne sus pas quoi répondre. Après tout, je l'avais sauvée mais je ne savais pas vraiment pourquoi... Elle ne parla plus, elle attendait ma réponse... Je lui dis que je ne savais pas et que, maintenant qu'elle était sauvée, il ne fallait pas chercher plus loin ! Mais cette femme était aussi l'une des plus têtues qu'il m'ait été donné de rencontrer. Elle me bombarda de questions, me faisant remarquer que j'avais abandonné les villageois sans le moindre remord ; ce qui était vrais... J'avais beau garder mon casque et le silence, elle continua sans relâche jusqu'au moment où je plantai mon épée dans l'arbre à côté d'elle, à quelques centimètres de son visage. Je lui dis dans un rugissement que si ce qu'elle pensait était vrai alors elle était stupide de m'agacer car après tout je pouvais très bien la décapiter sur place... Elle ne broncha pas d'un cil et continua de me fixer... Elle était impressionnante à vouloir faire celle qui n'avait pas peur. Mais ses mains tremblaient et ce genre de choses, je le remarque très vite... Elle recommença tout de même à parler. Moi je partis en forêt pour me calmer car elle aurait vite fini par obtenir un bâillon... Cette enquiquineuse avait vu mon visage, et n'avait pas fui ni tenter de me tuer ou encore de m'insulter avec un regard de haine... oui... c'est pour ça que je l'avais sauvée. Quand je revins au camp, le déluge de remarques et de questions recommença... J'arrachai mon casque, me rapprochai de son visage et planta mon regard tant détesté des autres dans le sien. Je lui dis, les dents serrées, ce que je pensais et la raison pour laquelle je l'avais sauvée. Elle m'écouta, et une fois que j'eus fini de la fixer, elle fut surprise et déstabilisée. Pour ma part, je reculai, récupérai mon casque, le remis et allai de l'autre côté du feu où je commençai d’aiguiser mes couteaux. Après quelques minutes d'un lourd silence, elle me sourit, me remercia puis ne parla plus mais continua à me fixer avec son sourire à la noix. J'étais partagé entre deux choix : la décapiter ou laisser les choses se faire...

Finalement, je ne l'ai pas décapitée. Au bout de quelques jours, elle put de nouveau se déplacer. Je lui dis de rester là pendant que je partais faire un tour. Je revins le lendemain avec un deuxième cheval. En vérité, je l'ai pris à un type sur la route qui fuyait le fléau. Elle ne me demanda pas comment je l'avais obtenu car le sang sur la selle était déjà bien assez éloquent. Elle se contenta de me sermonner et de me lancer des regards mécontents, ou furieux … je ne sais pas très bien. Moi j'en m'en fichais de toute façon. Je pris ce que je pus dans le camp puis on partit à cheval. Le type à qui il appartenait m'avait parlé d'une ville sainte, tenue par des paladins, des guerriers, des moines et des prêtres : ce que l’on nommait la croisade écarlate. Cette ville, c'était Atreval, elle existe toujours d'ailleurs... Bref, je passe sur le voyage long et ennuyeux... Nous arrivâmes enfin devant la route qui menait à cette ville. La route était pleine de soldats et d'ouvriers qui montaient des murailles de fortune et plaçaient des balistes derrière. Quand ils me virent, ces idiots se mirent en place pensant que j'étais un ennemi, puis la prêtresse avança et leur dit qu'elle était une servante de la lumière et tout le baratin ennuyeux qui suit forcement. Elle dit aux autres que j'étais celui qui l'avait sauvée et que de ce fait, j'étais un ami de la lumière. La bonne blague que voila... Ils nous laissèrent donc passer. Oui a l'époque, la croisade écarlate était moins stricte que maintenant. Quand on arriva devant les portes de la ville, je vis les remparts colossaux et la porte qui va avec ainsi que l'armée de gardes à l'entrée avec leurs machines de guerre. C'était impressionnant. Ils me donnèrent une chambre à moi et la prêtresse fut conduite ailleurs. Je la revis de temps en temps par la suite, puis l'espace entre ses visites s'agrandit. Au final, elle mettait parfois plusieurs semaines avant de venir me voir. Je ne sais pas pourquoi, mais ça m'énervais au plus haut point ! Un jour elle revint toute de rouge et de blanc vêtue. Elle venait de devenir une prêtresse officielle de la croisade écarlate. Elle en était très fière mais, ces derniers mois, elle avait changé... Cela faisait déjà deux semaines que je ne l'avais plus revue. J'en avais marre d'attendre, j'ai donc coincé un garde dans un coin tranquille puis après l'avoir assommer, bâillonner et attacher, je mis son armure et partis en quête de la prêtresse. Je la trouvai enfin attablée dans une salle avec plusieurs membres de la croisade. Ils riaient tous ensembles.. Par je ne sais qu'elle hasard, un des idiots présents lui demanda qui j'étais et ce que je représentais pour elle. Elle répondit que je n'étais qu'une anomalie de la nature, une créature entre ses mains et qu'elle se servait de moi comme bon lui semblait. Elle continua son "éloge" à mon sujet... Personne ne remarqua le garde au fond de la salle en train de fixer le petit groupe d'abrutis. Personne ne remarqua sa main fixée au pommeau d'une épée noir... Toujours avec l'armure du garde, j'écrivis rapidement une lettre qui était censé venir de ma part sur un bout de page arraché à un livre. La lettre disait que je devais la voir, et que c'était vital. Cette garce rit, une fois qu'elle eu fini de lire, et elle montra la lettre aux autres qui rirent aussi... Un sourire naquis sur mes lèvres, le même que celui que j'eus une fois que je me fus retrouvé devant Bors sur le champ de bataille... Je ressortis et retrouvai le garde puis remis mon armure et l’ exécutai rapidement. La lettre lui demandait de venir à l’endroit où se trouvait le garde. C’était un endroit très, très tranquille. Quand elle arriva, elle avait le sourire aux lèvres et engagea la conversation avec un ton des plus aimables. Je la pris à la gorge avant qu'elle ne puisse comprendre la moindre chose et, la traînant jusqu'au garde, je lui collai le visage sur celui de ma première victime... Elle reconnut l'armure... Elle se débattit comme elle put mais il était trop tard. Je me rapprochai de son oreille et lui glissa ces quelques mots : " Ta créature, hein ? ..." Ses yeux s'écarquillèrent et des larmes coulèrent le long de ses joues. Je tenais ma vengeance et je ne la laisserai pas partir. Elle tenta plusieurs sorts instantanés comme le cri psychique... Chose futile, on ne fait pas fuir un guerrier remplit de haine et de colère... Avec mon autre main, je retirai mon casque puis je plaçai mon visage en face du sien histoire qu'elle voit mon sourire et mon regard. La peur et le désespoir : voila ce que je vis et voila ce que je voulais voir... Je la lançai en arrière puis sortit mon épée... doucement... tout doucement… Elle ne pouvait pas crier car j'avais serré sa gorge de façon brutale mais précise, je lus sur ses lèvres le mot "Pitié" ou "Pardon" mais rien n'aurais pu arrêter mon bras... J'abattis mon épée horizontalement, détachant sa tête de ses épaules. Je pris la lance du garde mort et plantai la tête dessus en l’agrippant par les cheveux... Ma vengeance accomplie, je me sentis vidé de tout. Chose surprenante, ça ne m'était jamais arrivé auparavant... Après quelques minutes, je me repris, sachant que la croisade écarlate n'apprécierait pas ce geste. Je pris mes affaires, montai sur mon cheval et partit au galop, fuyant Atreval.

Après quelques jours de voyage, j'atteignis Andorhal, la première ville humaine à avoir succombé au fléau. J'attendis la nuit puis, passant par les champs, je traversai la ville et les rangs de mort-vivants qui eurent du mal à me repérer a cause de mon armure noire, de ma cape de même couleur et de mon cheval noir également. En plus, il faisait nuit et le ciel était chargé : il était difficile de me repérer... Au gré de mon périple, je finis par atteindre les Contreforts de Hautebrande. Je suis resté pas mal de temps dans cette région, assistant à l'avènement des réprouvés au Moulin-de-tarren. Après ça, en montant un peu plus au Nord, je suis tombé sur les nains Foudrepiques. Contrairement à la plupart des gens, ces nains là se foutaient pas mal de savoir qui j'étais. La seule chose qu'ils voulaient, c'était exterminé les orcs Loup-de-grive. Personnellement à ce moment de ma vie, j'avais besoin de me changer les idées, et tuer des orcs, ça je savais comment faire. Je suis donc rentrer dans la garde des Foudrepiques, comme simple troufion. Je finis par devenir assez important parmi eux, ils finirent même par m'exalter. C'est à cette époque que je rencontrai Crima qui me parla des Armes au poing et de leur fonctionnement. Cela ressemblait beaucoup à celui d'un mercenaire sur bien des points. Après avoir réfléchi, j'ai finalement rejoint les rangs d'Armes au poing ! Et puis... les nains n'arrêtaient pas de me dire qu'il fallait que je m'intègre pour que je puisse découvrir les joies de la bière de Forgefer ou encore du vin de Stormwind...

Voila, je vous ai raconté beaucoup de chose sur ma vie, Il y a peu de chose que vous ne savez pas sur moi désormais. Enfin a part quelques petites choses hehe *Clin d’œil* »

(HRP: Je tien quand même a adresser un enorme.... Non un colossal "MERCI !" a Ewillane qui m'a été d'une aide inestimable pour remettre en forme et corriger se texte. Encore merci Ewi *sourit*
Je tien aussi a dire que j'ai posté en trois fois car le texte a tout simplement atteint la limite de longueur par message ^^)
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Message  Letho Mar 20 Fév - 14:36

Letho contemplait la boisson ambrée contenue dans sa choppe. C’était la première fois que son compagnon de beuverie se confiait autant, à bien y réfléchir c’était en fait la première fois que Letho le voyait prononcer autant de paroles.
Détournant les yeux de sa choppe, il fixa un instant son regard sur les yeux de Baramin. Seule partie de son visage que son casque laissait entrevoir. Le passé de Baramin était sombre et violent, davantage qu’il ne l’aurait pensé. D’une certaine manière il se reconnaissait en lui, il avait lui aussi connu la violence aveugle, la fureur des combats et la joie sauvage que pouvait procurer le sang de ses ennemis. Voilà peut être pourquoi ils s’étaient toujours appréciés tous les deux. La couche de vernis qui enrobait le caractère de Letho ne semblait tout simplement pas exister chez Baramin.

Sirotant sa bière, Letho se demanda un instant quelle serait sa réaction à lui si il voyait le visage de Baramin. Letho espérait qu’il serait capable de passer outre l’apparence, il se décevrait beaucoup si ce n’était pas le cas.
De toutes façons, Baramin semblait vouloir tenir cacher cet aspect de sa personne et Letho avait lui-même suffisamment de secrets pour respecter ceux de ses amis.

Il finit sa bière et la reposa bruyamment sur la table en se tournant vers Baramin.

« On en est où déjà ? La prochaine tournée elle est pour moi ou pour toi ? »

HRP: Bon on a attendu longtemps mais ça valait le coup. Bravo et merci à toi c'est excellent. Et merci à Ewi pour la part qu'elle y a pris.
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Message  Baramin Mar 20 Fév - 16:35

Baramin Léve ses yeux gris acier et regarde son ami puis sa chopine vide...

« Mh... je pense que c'est a ton tour ! Aller dépéche toi de commander ! j'ai la gorge séche ! *rit* »
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Message  Sénaluna Mer 21 Fév - 6:27

Merci Bara pour t'etre devoilé ainsi.
Ca va mieux nous permettre de te cerner.
(Et félicitations pour ce fabuleu recit)
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